En France, les groupes environnementaux comme le Bureau européen de l'environnement (EEB, qui se présente comme "la voix environnementale des Européens", et qui fédère plus de 140 ONG dans 31 pays), et le Réseau international (IPEN, qui réunit plus de 700 ONG, dans plus de 80 pays) sont des acteurs contre la nanotechnologie. Ils sont méfiants vis à vis des nanotechnologies, en effet, selon eux le fait qu’elles puissent être de bonnes solutions technologiques pour des problèmes comme le réchauffement climatique serait une fausse idée.

Ils veulent que les nanotechnologies respectent les normes environnementales, c'est à dire qu'elles soient biodégradables, qu'elles ne dégradent pas la planète.